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 consiel du jour
Faire preuve de souplesse
Ce n’est un secret pour personne, la crise accentue la précarisation des contrats. Les jeunes diplômés commencent souvent par des CDD (contrats à durée déterminée) et des missions en intérim. Il ne s’agit pas de se brader, mais de jouer la cohérence entre ce type d’expériences et son projet professionnel. Si vous devez rester exigeant sur la fonction et le secteur visés, soyez en revanche plus regardant sur le type de contrat proposé. Assouplir ses exigences est une stratégie d’entrée dans l’entreprise qui s’avère souvent payante, dans un deuxième ou troisième temps. Une expérience valorisable, qui impose de sortir - pour un temps - de la logique qui voudrait que tel diplôme corresponde à tel salaire. Mais attention, comme le souligne Dominique Sanchez, directeur de la division achat & logistique chez Page Personnel (cabinet de recrutement), "Il ne faut pas s’enfermer dans un cycle de stage". Un avis que partage Eric de Saqui de Sannes, DRH (directeur des ressources humaines) chez Sogeti. "On peut penser qu’un jeune de 28-30 ans qui a enchaîné les stages souffre du syndrome Tanguy, c’est-à-dire n’arrive pas à prendre son indépendance et n’a pas de projet bien construit." Le DRH croit davantage aux vertus de l’alternance pour mettre un pied, et le bon, dans l’entreprise.

 Autres conseils
Aller au contact des employeurs
Rechercher un emploi ne se limite pas à répondre aux petites annonces", affirme Patrick Bataille, responsable du centre APEC de Dijon. Salons, forums, conférences et autres manifestations auxquelles participent les entreprises, tous les moyens sont bons pour rencontrer directement les employeurs potentiels. C’est l’illustration d’une attitude plus générale qui consiste à être proactif. Les recruteurs interrogés sont unanimes : en temps de crise, plus que jamais, il faut aller au contact. Se rendre visible est une bonne manière de créer les conditions pour que d’heureux "hasards" se présentent à vous.
S’entraîner pour l’entretien d’embauche
Par e-mail, par un réseau personnel, social… Vous avez envoyé une candidature, relancé votre interlocuteur, fait mouche et obtenu un rendez-vous. Par le Net, vous avez récolté tout un tas de conseils pour réussir votre entretien. Pour le préparer, Eric de Saqui de Sannes, DRH de Sogeti conseille de s’exercer devant sa glace, sa famille, ses amis. "La motivation doit se voir et pas seulement s’entendre. Sur Internet ou dans les bouquins, il y a un tas de conseils sur les attitudes qui font la différence. Mais pour garder son naturel tout en intégrant certaines positions à privilégier ou à éviter, il faut s’entraîner." Passer un entretien fait également partie de l’entraînement. "Et quand il n’est pas suivi d’une réponse positive, il ne faut pas hésiter à demander conseil au recruteur", ajoute le DRH de Sogeti, tout en précisant que les réponses ne seront pas forcément au rendez-vous. Aborder l’entretien comme une étape dans une progression vous permettra de relativiser. "Un candidat qui passe trois entretiens de qualité prend de l’information lors de chacun d’entre eux et sera meilleur au quatrième et au cinquième". Et si c’était le bon ?
Internet
Le réseau à ne surtout pas négliger, c’est le Web. La Toile permet non seulement de multiplier les envois de CV (curriculum vitae) - à condition bien sûr d’adapter son CV au poste et à l’entreprise visés -, mais aussi d’être plus visible et d’organiser sa veille sur les annonces. "La plupart des entreprises font du push. Vous vous inscrivez sur leur site et vous recevez par e-mail les annonces qui correspondent à votre profil", explique Dominique Sanchez, directeur de la division achat & logistique chez Page Personnel (cabinet de recrutement). Des réseaux de nature professionnelle, comme Viadeo ou LinkedIn, vous permettent également d’intégrer une communauté sur un secteur particulier. Une bonne manière de se créer un réseau virtuel ciblé pour compléter ses contacts réels. À ne pas négliger non plus, les portails professionnels spécialisés, comme jobfinance.com, jobvente.com, efinancialcareers.fr,... Plus ludique, Facebook permet également d’accroître son réseau. Et le vieil adage "les amis de mes amis sont mes amis" peut s’avérer utile. À condition de veiller à son image.
Préparer un CV
Le curriculum vitae est un incontournable quand vient le temps de te trouver un emploi. Il est souvent le premier contact avec tes employeurs potentiels et un des rares moyens d'attirer leur attention. En fait, c'est ton CV qui risque le plus d'inciter un employeur à te rencontrer. À ton service, le CV doit néanmoins être écrit en fonction de l'employeur visé. Accorde donc une attention particulière à la rédaction et à la présentation visuelle de ton CV. C'est ce qui te permettra probablement d'exercer le métier de tes rêves. Penses-y!
Préparer votre entretien
1- Dans la peau du recruteur Contexte, critères de sélection, objectifs du poste : en collectant un maximum d’informations sur l’emploi visé et sur l’entreprise (activités, culture, ambitions, enjeux), vous tenterez de prévoir les attentes du recruteur. Aidez-vous du site Internet de l’entreprise, de l’offre d’emploi, de la presse… 2- Affinez vos arguments Pendant l’entretien, vous devrez convaincre en peu de temps sans vous laisser déstabiliser. Analysez votre CV au regard des besoins de l’employeur et sélectionnez vos arguments à l’avance. Ne vous contentez pas de lister vos compétences et vos expériences, démontrez ce que vous pouvez apporter à l’entreprise et prévoyez des exemples concrets, pertinents. 3- Révisez vos classiques Mises en situation, questions théoriques et conversation bilingue : au-delà de votre motivation, l’entretien sert aussi à tester vos compétences. Si votre futur manager est présent, il vous évaluera sur des cas pratiques. Ressortez donc vos cahiers pour bachoter et entraînez-vous dans la langue de Shakespeare. Il n’est pas rare que le dialogue passe à l’anglais... 4- Question d’argent Si le recruteur ne l’aborde pas lui-même, ce sera à vous de le faire. Parler salaire est délicat alors soyez clair avec vous-même avant de vous lancer dans les enchères. Etudiez les rémunérations moyennes pour ce type de poste, selon le secteur et les responsabilités. Vous devrez proposer une fourchette crédible et savoir d’avance jusqu’à combien vous pouvez baisser vos prétentions. 5- A vos micros ! Rien de tel qu’une petite répétition pour se sentir fin prêt. Oubliez votre réserve, sortez micro ou miroir et répondez à voix haute aux questions de l’employeur fictif. N’hésitez pas à vous enregistrer pour identifier vos erreurs. Les tics de langage et les signes de stress, par exemple, sont à surveiller attentivement. 6- Préparez votre trousse d’entretien Arriver à l’heure est essentiel, préparez donc tous les détails pratiques la veille : choisissez votre tenue, imprimez plusieurs CV, finalisez votre portfolio, prévoyez de quoi prendre des notes et n’oubliez pas d’imprimer l’itinéraire pour vous rendre à l’endroit de l’entretien. 7- Et après… Capitalisez sur votre expérience ! Dès la sortie de votre entretien, notez les questions qu’on vous a posées, identifiez vos erreurs, cernez qu’elle aurait été la meilleure réponse. Et si vous n’êtes pas retenu, surmontez votre déception et appelez le recruteur pour qu’il vous explique la raison de son refus. Autant d’éléments qui vous aideront à mieux rebondir au prochain coup.
Pourquoi on etudie d'autre langue???
Pour plusieurs raisons,sociaux et culturels,économiques,La mondialisation.....
L’apprentissage des langues étrangères favorise la compréhension et la communication entre les peuples. L’éducation de la jeunesse implique plus que jamais une sensibilisation au dialogue entre les cultures, source de tolérance, de respect mutuel et de paix dans le monde. La mondialisation de la communication et le développement de la société de l’information exigent de plus en plus d’échanges interculturels : il devient donc nécessaire que les citoyens du monde entier développent des compétences linguistiques variées afin d’avoir accès aux connaissances et de pouvoir participer pleinement au débat public. Il faut en effet préparer les citoyens à répondre aux défis d’une mobilité et d’une coopération internationales, dans les domaines de l’éducation, de la culture et des sciences, du commerce et de l’industrie… La tendance à l’utilisation d’une langue unique, l’anglais, favorise l’hégémonie d’un certain type de pensée. Le français, langue de communication internationale, offre une alternative à l’uniformisation de la culture. La francophonie, espace de dialogue entre les cultures, véhicule comme valeur fondamentale le respect de la diversité linguistique et culturelle. Avantages sociaux et culturels La maîtrise de plusieurs langues étrangères favorise non seulement la maîtrise de sa propre langue, mais permet également un accès démocratique au savoir. L’apprentissage d’au moins deux langues étrangères facilite l’acquisition ultérieure d’un nouvel idiome parce qu’elle met en place une réflexion sur la langue et des techniques d’apprentissage (apprendre à apprendre). A ce titre, il convient de souligner que la langue française est une porte ouverte vers les langues latines, telles que l’espagnol et le portugais, qui sont également des langues de communication internationale. En outre, certaines connaissances en anglais (notamment lexicales) sont facilement transférables lors de l’apprentissage de la langue française, et inversement.
Quels sont vos défauts ?
Devant cette question, tous les candidats aimeraient déclarer : "Je n’ai pas envie de parler de mes défauts". Mais comme c’est impossible, il faut bien trouver quelque chose à répondre. "En fait, il faut souvent avoir derrière soi plusieurs années d’expérience pour se connaître professionnellement et ainsi savoir quels sont ses points faibles", souligne Marion Debuire, consultante chez MG Advantis. Si vous êtes jeune diplômé, vous devez donc vous projeter dans le futur (ce qui vous évitera déjà de répéter inutilement ce que votre entourage dit de vous depuis votre plus jeune âge). En fait, pour vous, il s’agit d’éviter de répondre par mégarde à la question suivante : "Quels sont les défauts qui pourraient nuire à ce poste ?". Si vous êtes désordonné par exemple et postulez un emploi de documentaliste, vous n’êtes pas sur la bonne voie ! Il en va de même si vous êtes sédentaire alors que le poste exige de nombreux déplacements… Dans tous les cas, vous ne pouvez pas maîtriser toutes les données du poste et de son environnement. "Il existe parfois des mots-clés qui éliminent d’office le candidat qui les prononce", indique un recruteur. Si vous annoncez par exemple : "Je suis susceptible", et que votre éventuel futur directeur est très caustique, vous aurez certainement du mal à travailler avec lui. Quoi qu’il en soit, mieux vaut toujours présenter les informations sous un angle positif. Dites "je suis trop rigoureux(se)" plutôt que "Je n’aime pas le laxisme", "Je suis jusqu’au-boutiste" plutôt que "Je suis entêté(e)" ou encore "Je suis perfectionniste" plutôt que "Je suis maniaque", etc. Par ailleurs, soyez honnête avec vous-même et évitez d’annoncer comme défaut une simple qualité exacerbée du genre : "Je suis trop franc(he)" ou encore "Je suis trop dynamique ". Un recruteur peut vous demander de lui citer trois défauts (en général il exigera aussi trois qualités). Il est donc toujours préférable de préparer une liste pour ne pas sécher bêtement sur le troisième. À l’inverse, il peut aussi vous demander : "Quel est votre défaut / qualité principal(e) ?". Enfin, essayez toujours de terminer par une note positive. Gardez à l’esprit qu’un défaut que l’on combat finit par devenir un atout puisque vous en avez pris conscience. Si vraiment aucun défaut ne vous vient à l’esprit, vous pouvez répondre sur le chapitre de vos compétences en précisant ce qu’il vous faudra améliorer pour exercer le poste, tout en prenant le risque que le recruteur décèle votre subterfuge. Les réponses à éviter Banal • "J’ai les défauts de mes qualités et les qualités de mes défauts." • "Je suis tenace jusqu’à l’entêtement." • "Exigeant(e) avec moi-même, je le suis également avec les autres." • "Ma grande franchise m’a parfois joué des tours." "Mon enthousiasme me pousse parfois à l’excès." Prétentieux • "Mes défauts sont minimes par rapport à mes qualités." À prouver • "Je ne pense pas avoir de défauts majeurs." Des réponses possibles - "On dit de moi que je suis un(e) grand(e) bavard(e), mais en fait, c’est chez moi une façon d’amener les autres à parler d’eux." - "On me dit souvent que j’ai tendance à être dirigiste, mais j’essaie de compenser en discutant avec mes collègues avant de prendre une décision." - "J’ai conscience de mon manque de répartie mais j’essaie de m’améliorer en participant à des discussions animées entre amis." - "Je manque encore d’assurance mais je pense que ma timidité est due à mon manque d’expérience. En effet, lorsque je commence à me sentir bien dans un groupe, je suis capable de m’investir et de faire des propositions. " - "J’ai un problème avec le temps. Il m’arrive d’être en retard à un rendez-vous ou de prolonger une réunion. Mais j’en ai conscience, je fais de gros efforts et je crois avoir déjà bien progressé." - "J’ai encore des difficultés pour m’exprimer parfaitement en anglais, même si je peux suivre une conversation ; mais je tente d’améliorer ma pratique, notamment lors de séjours à l’étranger." - "Ma connaissance d’Excel est moins approfondie que celle de Word, mais je possède un ordinateur personnel sur lequel je m’entraîne régulièrement."